INSCRIPTION À CETTE ACTIVITÉ

En guise d'événement de clôture de leur campagne de sociofinancement, la SHGIJ et le CAL vous invitent au vernissage de l'exposition Trajectoires carcérales : Saint-Vincent-de-Paul et son vieux Pénitencier. En plus d'inaugurer cette exposition importante qui entre en résonance avec l'actualité du site, cet évènement sera l'occasion de revenir sur les missions essentielles de nos organismes, de remercier nos contributeurs et de lever notre verre à nos futurs projets.

Pour y participer, il suffit de se procurer un billet sur CanaDon. Les donations pour cette activités sont libres.

Présentation de l'exposition

La SHGIJ en collaboration avec le Centre d’archives de Laval présente Trajectoires carcérales : Saint-Vincent-de-Paul et son vieux Pénitencier, la toute première exposition consacrée au « Vieux Pen » de Saint-Vincent-de-Paul dans sa relation à son territoire d'accueil. Ouvert en 1873, à l’emplacement de l'ancien couvent des Dames du Sacré-Cœur (aujourd'hui disparu) et dans les suites d'une première Prison de Réforme, le Vieux Pénitencier a en effet entièrement remodelé la configuration de Saint-Vincent-de-Paul, troisième noyau villageois fondé sur l'île Jésus (1744). C'est à la fois l'ampleur du site, l'architecture fortifiée du Pénitencier, construit d’après les plans de l’architecte John Bowes, mais davantage la nécessité de loger à proximité le personnel du Pénitencier, l’effervescence socio-économique de même que les mesures de sécurité entourant la présence concrète et spectrale de la prison, qui ont refaçonné en profondeur la trame de la municipalité. À l’aide de documents et d’artefacts inédits, l’exposition a pour objectifs de montrer les différents types d’espaces mobilisés par la création du pénitencier — du noyau villageois à l’unité de la cellule d’emprisonnement —, et d’activer les objets issus de notre collection afin de porter à réflexion les trajectoires complexes émanant de ce lieu emblématique du patrimoine lavallois.

Commissaire : Maude Trottier, SHGIJ

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Cette activité prend part à la toute première campagne de sociofinancement organisée par la SHGIJ et le CAL. Cette campagne a pour objectif d’assurer un meilleur soutien à la mission et au fonctionnement de nos organismes de même qu’à l’ensemble de leurs activités. En faisant appel à notre communauté, nous avons à cœur de fortifier la richesse de nos liens avec elle, de maintenir et de bonifier les services que nous offrons de même que d’accroître notre présence sur le territoire lavallois !

Pour s'inscrire à cette activité et contribuer à la campagne de sociofinancement, rendez-vous sur CanaDon!

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En pré-ouverture de l’exposition Trajectoires carcérales : Saint-Vincent-de-Paul et son vieux Pénitencier. Avec Jasmin Miville-Allard et Maude Trottier.

Comment s’articule la recherche en archives ? Comment trouver ce que l’on cherche à travers une multitude d’informations ?  Par où commence-t-on ? C’est le genre de question que tout chercheur professionnel, amateur ou étudiant se pose. De l’acquisition à l’évaluation, du traitement intellectuel au traitement physique, les documents subissent un traitement complexe avant de passer au stade d’archives. Inversement, plusieurs étapes jalonnent la recherche en archives et l’utilisation de ces sources primaires.

Cet atelier-discussion qui se déroulera avec Jasmin Miville-Allard, directeur de la Société d’histoire / Centre d’archives de Laval et Maude Trottier, chargée de projet pour l’organisme, sera l’occasion de mettre en lumière le travail respectif de la direction d’un centre d’archives et du cheminement archivistique de même que certaines implications de la recherche et de la mise en valeur de ces documents. L’atelier prendra pour exemple les fonds Denise Labrecque (P080) et d’André Forget (P037), des sources importantes pour l’élaboration de l’exposition Trajectoires carcérales : Saint-Vincent-de-Paul et son vieux Pénitencier. 

 

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Cette activité prend part à la toute première campagne de sociofinancement organisée par la SHGIJ et le CAL. Cette campagne a pour objectif d’assurer un meilleur soutien à la mission et au fonctionnement de nos organismes de même qu’à l’ensemble de leurs activités. En faisant appel à notre communauté, nous avons à cœur de fortifier la richesse de nos liens avec elle, de maintenir et de bonifier les services que nous offrons de même que d’accroître notre présence sur le territoire lavallois !

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Avec Plage Laval, la romancière Rafaële Germain propose un récit existentiel au féminin dont l’intrigue se déroule à Laval. Intitulé d’après ladite plage, très populaire durant les années 1950, le romain puise aussi dans la mémoire de l’île, afin d’élaborer sa trame fictive. Comment la romancière et résidente de Laval a-t-elle travaillé à partir d’un lieu emblématique soumis à la transformation du temps ? Comment l’actuel Laval s’inscrit contextuellement dans une réflexion portant sur une trajectoire de vie saisie à l’un de ses tournants ? Plage Laval est riche de questions posées au territoire et à son histoire ! En conversation avec Rachel Sansregret, directrice de Culture Laval, l’écrivaine nous fera le plaisir de venir discuter avec nous de son travail littéraire et du choix de Laval comme milieu de vie et lieu de fiction.

Rafaële Germain

Rafaële Germain a fait ses premiers pas dans l'univers de la communication à titre de recherchiste pour l'émission La fin du monde est à sept heures, diffusée à TQS (1998-2000), puis pour l'émission Le Grand Blond avec un show sournois, diffusée à TVA (2000-2002). De 2002 à 2008, Rafaëlle Germain signe une chronique hebdomadaire intitulée « Je t'aime moi non plus » dans le quotidien La Presse. Suivront une collaboration ainsi qu'une chronique dans le magazine Châtelaine, de l'automne 2009 jusqu'en décembre 2011.

Rafaële Germain a signé un premier roman aux Éditions Libre Expression en 2004 sous le titre Soutien-gorge rose et veston noir ; suivront chez le même éditeur Gin tonic et concombre en 2008 et Volte-face et malaises en 2012. L'auteure a publié en outre aux Éditions du Trécarré en 2010 un livre de recettes, Deux folles et un fouet, en collaboration avec Jessica Barker, et a participé en 2011 à deux recueils de nouvelles parus sous les titres Cherchez la femme et Amour et libertinage par les trentenaires d'aujourd'hui.

Plage Laval est son quatrième roman.

Rachel Sansregret

Après avoir complété une maîtrise en Littératures de langue française à l’Université de Montréal en 2008, Rachel Sansegret consacre sa carrière au développement culturel des organisations et des municipalités. Elle a travaillé pendant plus de 10 ans pour les bibliothèques publiques de la Ville de Laval, où elle a notamment participé à l’élaboration et à la mise en œuvre des programmes de médiation culturelle, de partenariats et de développement communautaire, ainsi qu’au plan de développement des infrastructures. Elle poursuit des études universitaires en gestion de projets et s’intéresse tout particulièrement à la culture comme levier de développement des territoires, en contexte urbain.

Plage Laval, résumé

Lorsque le père de sa fille la quitte après vingt-cinq ans de vie commune, Laurence décide de tourner le dos au monde et de s’installer dans un vieux chalet sur le bord de la rivière des Mille-Îles. Un projet unanimement décrié par ses proches, mais Laurence n’a que faire de leurs commentaires : à 48 ans, elle considère qu’elle est libre de commettre ses propres erreurs et d’embrasser une saine solitude.

Or la vie aura tôt fait de la rattraper, et Laurence va réaliser que ce ne sont pas seulement les rivières qui parfois débordent ; les femmes aussi, même celles qui s’étaient juré qu’elles n’avaient besoin de personne et que les grandes passions étaient loin derrière elles.

 

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Humaniste, politicien, enseignant, promoteur de la culture et homme d’affaires, Jean-Jacques Lapierre est, pour notre Société d’histoire, un interlocuteur précieux. Passionné et raconteur hors-pair, M. Lapierre cumule en outre une importante expérience d’animateur et de conférencier qu’il a souhaité mettre à profit dans le cadre de cette campagne de sociofinancement. Sous la forme d’une conversation animée par Jasmin Miville, directeur de la Société d’histoire, M. Lapierre reviendra sur quelques jalons historiques cruciaux liés à l’île Jésus, depuis l’arrivée d’Olivier Charbonneau et des sœurs Garnier en allant jusqu’à l’avènement de l’électricité en 1929 ! Pour cette occasion, M. Lapierre exposera également au public quelques artefacts de sa collection personnelle.

Jean-Jacques Lapierre

Ancien étudiant du Collège Laval et formé aux à l’École des Arts graphiques de Montréal et dans différentes universités, Jean-Jacques Lapierre a notamment exercé la profession d’enseignant et s’est fait connaître du grand public en tant qu’échevin de Concorde / Bois-de-Boulogne de Laval ainsi que comme animateur à la radio et d’émissions culturelles pour TV Laval. Jean-Jacques Lapierre a siégé sur de nombreux Conseils d’administration d’organismes culturels (Pleins-Feux Arts Visuels, la Fondation de la Maisons des Arts, Culture Laval, Corporation de la Salle André-Mathieu) et est membre honoraire de plusieurs organismes lavallois reconnus.

 

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Lors de cet atelier, M. Denis Beauregard, pionner de la généalogie en ligne et concepteur du guide Généalogie des Français d’Amérique du Nord, survolera les principaux tests ADN utilisés en généalogie génétique. L'atelier sera l’occasion de se familiariser avec les principes de l’ADN-Y en rapport avec les lignées paternelles et d’ADNmt en rapport avec les lignées matérielles de même qu’avec l’ADN autosomal dans la perspective de recherche de cousins et d’origines ethniques.

Détails

Denis Beauregard est « tombé » dans la généalogie quand il était petit ou presque ! Dès la vingtaine, soit en 1981, cette passion l’amène à devenir membre à vie d'une société de généalogie et à réaliser l'éventail de ses ancêtres ainsi que des ascendances pour des amis. En 1993, il fonde « Les pages de Denis Beauregard » devenu par la suite genealogie.com, le premier site web francophone sur internet. L’aventure virtuelle se poursuit à travers le site FrancoGène et surtout, avec la création de Généalogie des Français d’Amérique du Nord, un index inédit qui rassemble toutes les familles pionnières des anciennes colonies françaises du continent nord-américain. Denis Beauregard est également à l’origine d’un catalogue de signatures ADN qui couvre la diaspora française vers ses colonies d'Amérique du Nord (le Canada ou futur Québec, l'Acadie et la Louisiane), ainsi que d'autres régions selon les données reçues. Il a également rédigé un manuel de référence sur la généalogie génétique, disponible en ligne.

 

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Autrefois appelée Cadieux et du Cimetière, la rue des Patriotes — renommée ainsi en 1954 — représente un axe important dans la trame urbaine de Sainte-Rose. C’est en effet par ce chemin que l’on accédait autrefois à la seigneurie de Blainville en naviguant sur la rivière des Mille-Îles par un bac et à partir de 1832, en empruntant le Pont Porteus. C’est également sur la rue des Patriotes que se trouvent ce que l’on a longtemps supposé être l’Auberge Tassé, comme vous l’expliquera en détails Yvon Ouimet, et la maison Marcel-Saint-Pierre (autrefois Maison Desjardins).

Lors de ce circuit en trois temps, découvrez les dessous de la rue des Patriotes et ses joyaux patrimoniaux en compagnie d’Yvon Ouimet et de Philippe Brosseau, deux passionnés d’histoire et membres très actifs de l’Association des Citoyens et des Amis du Vieux Sainte-Rose.

Biographie Yvon Ouimet

Yvon Ouimet est né à Sainte-Rose (quartier Auteuil aujourd’hui) en 1947 à une époque — aujourd’hui disparue — où les familles vivaient de la terre, de génération en génération et depuis plus de deux siècles. Au fil des années, M. Ouimet est devenu historien amateur. Il s’intéresse principalement à la région de Sainte-Rose, plus spécialement aux familles et à ce qui touche le bâti du territoire qui longe la rivière des Mille-Îles. Depuis une quarantaine d’années (et plus intensivement depuis sa retraite), avec l’aide de la Société d’histoire et de généalogie de l’île Jésus et sur la base notamment des registres de mariages et des actes notariés concernés, il tente de reconstituer des morceaux de l’histoire de son patelin et du Vieux Sainte-Rose.

Biographie Philippe Brosseau

Philippe Brosseau est natif de la région de Saint-Lambert et Laprairie et a reçu une formation en histoire et géographie. Arrivé à Sainte-Rose en 1981, Philippe Brosseau s’est, dès son arrivée, intéressé aux activités de la Société d’histoire et de généalogie de l’île Jésus afin de mieux connaître l’histoire de Laval. Il est aujourd’hui un membre actif de l’Association des Citoyens et Amis du Vieux Sainte-Rose, un organisme fondé en 2013 qui œuvre pour la sensibilisation à l’histoire et la protection du patrimoine de Sainte-Rose.

 

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